Le cancer de la prostate est la troisième maladie la plus meurtrière chez les hommes de plus de 70 ans. Malgré les études menées à ce sujet, on ne connaît pas exactement la cause de l’apparition des tumeurs. Néanmoins, il semble que l’âge soit l’un des principaux facteurs de risque. Des méthodes de diagnostic plus fiable ont également vu le jour. Ce qui permet de détecter les cellules cancéreuses à un stade précoce. En parallèle, l’approche Beljanski offre de meilleures chances de rémission aux malades.
L’essentiel à savoir sur le cancer de la prostate
Cette maladie se manifeste lorsque des cellules cancéreuses apparaissent au niveau de la prostate. Comme pour n’importe quel autre type de cancer, les cellules malignes prolifèrent au niveau de l’organe touché avant d’atteindre les glandes lymphatiques. Par la suite, elles vont se répandre aux tissus environnants pour se propager dans tout le corps.
Au premier stade, le malade ne ressentira aucune douleur particulière. Il sera seulement sujet à des inconforts urinaires passagers, mais récurrents. Les symptômes caractériels vont uniquement se manifester lorsque la tumeur atteint une taille de quelques millimètres. Le souffrant éprouvera alors le besoin d’uriner plusieurs fois au cours de la nuit et il rencontrera des problèmes de miction. Des incontinences surviennent également. Le patient commencera à s’affaiblir lorsque les cellules cancéreuses atteignent le système lymphatique, il faut s’attendre à une perte d’appétit et à un état fébrile persistant. Les plus sensibles vont ressentir des douleurs osseuses au niveau des hanches.
Tous ces signes devraient inciter les particuliers à consulter un médecin. Comme évoqué précédemment, l’âge constitue le principal facteur de risque. Les sexagénaires ont donc tout intérêt à être vigilants. Actuellement, les méthodes de diagnostic cancer de la prostate permettent de détecter la maladie à un stade précoce. Les spécialistes examinent tout d’abord les résultats d’un Test PSA. Un taux anormalement élevé d’antigène prostatique spécifique peut indiquer la présence de cellules malignes. Pour confirmer le diagnostic, la réalisation d’une biopsie sera alors nécessaire.
Les traitements du cancer de la prostate
La médecine moderne préconise des traitements différents selon la gravité de la maladie. À un stade précoce, les spécialistes recommandent le suivi d’une chimiothérapie. Si la tumeur atteint une taille inquiétante, il faut procéder à l’ablation de la prostate. Après cette intervention chirurgicale, on prescrit encore quelques agents chimiothérapiques pour éliminer ou du moins limiter la prolifération des cellules malignes restantes.
Par ailleurs, il y a bien longtemps que des traitements complémentaires ont vu le jour. L’approche Beljanski figure parmi les plus connus dans ce domaine. Cette méthode préconise la prise de certaines substances issues de plantes pour améliorer l’efficacité d’une chimiothérapie. Les extraits naturels de Beljanski donnent les moyens d’éviter une chute du taux de leucocytes et de plaquettes sanguines. Cela survient généralement dès le début du traitement d’un cancer. Il en résulte un affaiblissement des défenses immunitaires du patient. Ce qui le laisse à la merci des maladies les plus courantes. Par ailleurs, si ce taux baisse au point de dépasser un certain seuil, les médecins devront interrompre la cure. Grâce aux ARN fragments de Beljanski, il est possible de prévenir ce scénario et ainsi d’avoir de meilleures chances de rémission.